Dans les nombreux mondes de Gabriella, il semble que ce soit le temps du dessinateur ; il laisse une trace, imprègne de passé, met le lecteur dans une condition nostalgique de sentir que « c’est déjà arrivé ». Avec l’absence se manifeste ce qui ne peut être exprimé, une intensité émotionnelle révélée par les traces de vie qui sont restées sur ce que nous lisons et que nous lisons sur ce qui est resté.

176 pages / Couverture souple sérigraphiée / en collaboration avec la Galerie Martel

24 €